Kiss kiss bang bang, a été
réalisé par Shane Black et il est sortie le 11 septembre 2005 en Amérique de
nord. Harry Lockhart, interprété par Robert Downey JR., est un petit voleur
assez maladroit. Après le cambriolage raté d'un magasin de jouet, il se retrouve
dans un casting de film pour éviter de se faire attraper par la police. Il
réussit à avoir le rôle. Il se fait donner des cours pour le rôle en question,
soit un détective privé, par Gay Perry, un détective privé homosexuel. Ce film
a tous les caractéristiques pour être un film noir. La voix, du personnage principal,
qui narrâtes le film, l’utilisation des «flash-back» pour voir le passé des
personnages, soit Harry et Harmonie. Le passé plutôt sombre de ses derniers
personnages et le personnage typique du film noir, le détective privé,
l’emplacement des scènes dans des endroits typiques soit une ruelle sombre, et
la nuit, dans une ville typique, dans ce cas si Los Angeles. Tous ces facteurs jouent
un rôle important dans l’ambiance du film noir. De plus, la constante recherche
de la vérité, les multiples références aux petits récits de détective, l’utilisation
d’angle de caméra, qui annonce un évènement tragique, ainsi que la complexité
de l’histoire font en sorte que ce film est un vrai film noir.
Une montagne de films
lundi 26 mars 2012
lundi 20 février 2012
Les Grands Réalisateurs Russes
Serguei
Eisenstein
Il
est un réalisateur de la période soviétique. Il est né a la fin des années 1800
et il fait partie des grands réalisateurs de l'Union soviétique. En 1917, il
lâche l'école pour s'engager dans l'armé cependant il ne participera pas à la
Révolution d'octobre. En 1920, il fait ses débuts dans le monde des arts comme
metteur en scène et comme décorateur de théâtre. Trois ans plus tard, il fait ces
débuts dans le cinéma avec le petit burlesque Le Journal de Goloumov. Il est un
des pionniers de plusieurs techniques de montage comme le montage de
l’attraction. Cette technique consiste à faire un assemblage de scène ayant un
fort impact visuel pour créer un impact maximal chez le spectateur. Par la
suite, il tournera une scène qui sera très célèbre soit une poussette qui décante
des escaliers dans le film Le Cuirassé Potemkine. Il décide de partir de l'URSS
vers l’Europe puis vers les États-Unis pour y apprendre de nouvelle technique
de montage et de son. À la fin de sa vie, il a tourné le film Ivan le Terrible,
partie 1 et 2. La troisième partie est inachevée, censurée et en partie
détruite. Il meurt en 1948 soit 2 ans après avoir commencé la partie 3, tant controversé.
Lev
Kouleshov
Il
est né à la fin des années 1890, à Tambov une vile importante au sud-est de
Moscou. À l’âge de 20 ans, il commence à diriger l’école de cinéma de Moscou.
C’est à cette époque qu’il réalisera un effet de montage très important soit
l’effet kouleshov. Cet effet consiste à prendre une scène d’un personnage, par
exemple une petite fille tout étonnée, et de la coller pendant qu’un magicien
fait un tour. Alors le spectateur fait le lien que la petite fille regarde le
magicien en train de faire un tour. Mais cela ce peu que la petite fille en
question soit en train de regarder un spectacle aquatique. Au cours de sa vie,
il réalisera plus de 20 films, sera scénariste de 5 films, jouera dans 5 films
et il aura d’autre rôle, comme décorateur, monteur, directeur de production et
directeur artistique, dans plusieurs autres productions. Il décèdera au début
des années 70.
Dziga
Vertov
Il
est un réalisateur d’avant-grade de l’Union Soviétique. Il est né en 1896 d’un
père libraire russe. Il commence ses études en médecine à St-Pétersbourg et il
commence a travailler comme bruiteur dans un laboratoire de l’ouïe. En 1918, il
joint la révolution et il devient rédacteur monteur du premier journal
télévisé. Après quelques années, soit en 1924, il termine son premier film la
carte politique de l’Europe, qui est en dessin animé. Un de ces plus grands
chefs d’œuvre est sans aucun doute l’Homme à la caméra. Sa vision du cinéma
n’est point trop compliquée. Pourquoi se conformé de tournée dans un studio
avec un scénario, des acteurs, une mise en scène. C’est beaucoup mieux de tourner
des scènes de la vie générale. Il réalisera plus de 10 films avec sa
philosophie expliquée plus haut aussi appelée cinéma-Œil. Il s’éteindra en 1954
d’un cancer de la gorge.
mercredi 8 février 2012
Critique l'Homme à la caméra
L’homme
à la caméra est un chef-d'œuvre du cinéma russe qui a paru à la fin des années
20. Dans ce film, on y voit plusieurs séries de plans de vue dans la ville
d’Odessa du matin jusqu’au soir. Dans ce film, on peut croire que les scènes
sont placées de façon aléatoire, mais non, rien n’est laissé au hasard. Une des
raisons pour lesquelles ce film est un chef d’œuvre est la qualité du montage.
Cette tâche colossale a été réalisée sans les outils conventionnels
d’aujourd’hui et en plus il y a de nombreux effets de montage comme le splitscreen,
l’effet kuleshov, image flash, ralenti, accélération… un autre point qui fait
en sorte que ce film est un chef d’œuvre est qu’il est, malgré ces 83 ans,
toujours contemporain. Une preuve de cela c’est que l’on peut mettre un album
de Madona en continu et la musique suit vraiment bien l’image. Personnellement,
je n’ai pas vraiment aimé ce film, car je trouve qu’il y a trop d’effet de
montage à la minute. Je trouve que cela a pour effet de me déconnecter, me désintéressé
au film. De plus, je l’ai trouvé plutôt long et on avait la trame sonore de
Madona et non l’original. Somme tout je suis content de l’avoir vus même si je
ne l’ai point aimé.
Burlesque parlant
Taxi
4 sortie en 2007, est le dernier film de cette série française. Gérard Krawczyk
en est le réalisateur ainsi que taxi 2 et 3 et le premier a été réalisé par
Gérard Pirès. C’est l’histoire d’un policier maladroit (Émilien) ainsi que son
ami chauffeur de taxi (Daniel) qui lui a une haine contre les forces de
l’ordre. Son taxi n’est pas un taxi ordinaire. En deux temps trois mouvements
il se transforme en taxi super performent. Les 2 héros sont à la recherche d’un
cambrioleur belge qu’Émilien a laissé s’échapper. Ce film est rempli de Keystone
Cops, car ce film parodie la policière en entier. Ensuite, il y a l’utilisation
d’effet comique comme la modification du bolide de Daniel. Il y a un très bon
running gag quand la plie de la montre du commissaire est brûlé et que cette
dernière indique 3 fois 12h05. Il faut aussi noter plusieurs inversions d’expression.
Je n’ai pas remarqué de bastonnade, de slapstick et rien sur la rapidité du jeu
des acteurs. J’ai toujours aimé cette série de films, mais personnellement le quatrième
est celui que j’ai le moins aimé. L’histoire est bonne, mais je trouve qu’il
manque de conduite automobile comme les 3 autres nous avaient habitués.
lundi 30 janvier 2012
Charles Chaplin Modern Times
Le film que j’ai choisi est
« les temps modernes » de Charles Chaplin. Ce film a paru le 5 février
1936 à New York. C’est l’histoire d’un ouvrier d’une chaine de montage qui lui
arrive plusieurs péripéties. Il se fait arrêter plusieurs fois, mais il s’en sort
toujours. Un jour, il aide une jeune femme, qui venait juste de voler un pain,
en se faisant passer pour le voleur. L’ouvrier tombe en amour avec cette jeune
femme puis ils s’achètent une maison vraiment délabrer. Par la suite, il
retourne travailler puis il a encore des démêlés avec la justice. À sa sortie
de prison, la jeune femme l’attend et elle lui a trouvé un emploi dans un
restaurant. J’ai repéré un running gag lorsque Chaplin se fait amené par
la police avant de s’enfuir, il tombe 3 fois assit sur une madame. Il y a aussi
l’utilisation d’effet comique qui crée un univers absurde. Par exemple, lorsque
Chaplin et la femme avec laquelle il s’échappe s’imaginent vivre dans la maison
près de laquelle ils se sont arrêtés. Charles Chaplin a fait
huit longs métrages donc : Limelight (1952) Monsieur Verdoux (1947) The Great
Dictator (1940) Modern Times (1936) City Light (1931) The Circus (1928) The
Gold rush (1925) A Woman of Paris (1923). J’ai trouvé ce film très bon, car il
est drôle, amusant et ridicule (dans le bon sens du terme). Malgré les années,
ce film est et restera toujours un véritable chef d’œuvre, car il traite d’un
sujet toujours présent de nos jours. En conclusion, c’est vraiment un film à
découvrir si ce n’est pas déjà fait.
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